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4 hommages ont été rendus :
Message de Stéphanie Zgrodek
Publié le 17 mai 2024 à 21:19
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de jean-pierre BURDIN
Publié le 02 mai 2024 à 10:23
" Chère Jeanine.
Tu t'en douteras j'ai beaucoup de chagrin d'apprendre par Natacha le décès de notre cher Maurice. Maurice était un très bon camarade, solide, loyal sur qui on pouvait compter,. Une complicité s'était développée entre nous au moment de la catastrophique intervention chirurgicale qu'il devait subir à la Pitié et dont il est sorti paralysé alors que presqu'au même moment je devais de mon côté être victime d'un grave accident automobile qui heureusement n'a pas eu des conséquences aussi durablement invalidantes. Depuis nous sommes toujours restés proches. De loin en loin le contact ne fût jamais vraiment interrompu, même si les manifestations d'affections se furent nécessairement plus rares. Tout au long du temps et malgré espaces de vie et d'activités très éloignés nous avons toujours su saisir les occasions de nous appeler de temps en temps. J'admirais le courage et la volonté de Maurice. Il était dans la vie face au handicap dans le même état d'esprit déterminé qu'il était dans la vie militante, dans l'exercice de ses responsabilités syndicales ; organisé, précis, déterminé , tenace; c'était tellement agréable de travailler, de militer avec lui. On était en confiance. Tout était clean (presque trop!) c'était organisé précis, réfléchi. Il savait ce qu'il voulait et ne cédait jamais pour l'obtenir si c'était juste. Il savait rassembler, écouter.
Deux chose renforçaient notre connivence: la trompette de Maurice André et la bonne table !! C'était un cuisinier hors paire; de la bonne table comme facteur de rassemblement et de convivialité, cela ne fait pas tout mais cela joue tout de même un peu dans les moments de discussions syndicales un peu tendues !
Alors qu'il était permanent à l'Union Départementale , durant les pauses, Maurice aimait beaucoup parler de sa famille. Il en parlait bien et alors, avec retenue , pudeur, sensibilité, fierté ; C'est je crois celui qui de nous tous qui travaillions alors rue Charlot celui donnait le plus des nouvelles des siens, montrait le mieux son attachement affectueux à la vie familiale . A chaque téléphonage, jusqu'au dernier, j'ai ainsi eu des nouvelles du fils, des petit enfants ! On sentait l'amour dont il les entourait.
Ma chère Jeanine, te voilà toi aussi dans la tristesse, immense, de la perte. Maurice ne nous laisse pas sans rien, il nous lègue une force, sa force, et une exigence: la volonté de vivre et de servir la vie. Nos devons continuer d'honorer la vie avec joie, rester fidèle à ce qu'a si bien porte Maurice.
Natacha m'a confirmé que tu étais bien entourée, et la qualité des liens d'affections familiales qui vous unissent tous. C'est pour partie aussi un héritage de Maurice. Pour autant tout cela reste dur, difficile . Eliane et moi partageons ta peine et celle de vous tous ! Et nous répondrons bien sûr a tout appel que tu pourrais nous adresser.
J'essaie de venir demain aux Adieux, mais cela me semble toutefois délicat à organiser et je ne suis pas certain d'y parvenir. Je vais faire tout le possible pour être physiquement présent.
Eliane et moi t'embrassons de tout cœur.
* Jean-Pierre Burdin "
Tu t'en douteras j'ai beaucoup de chagrin d'apprendre par Natacha le décès de notre cher Maurice. Maurice était un très bon camarade, solide, loyal sur qui on pouvait compter,. Une complicité s'était développée entre nous au moment de la catastrophique intervention chirurgicale qu'il devait subir à la Pitié et dont il est sorti paralysé alors que presqu'au même moment je devais de mon côté être victime d'un grave accident automobile qui heureusement n'a pas eu des conséquences aussi durablement invalidantes. Depuis nous sommes toujours restés proches. De loin en loin le contact ne fût jamais vraiment interrompu, même si les manifestations d'affections se furent nécessairement plus rares. Tout au long du temps et malgré espaces de vie et d'activités très éloignés nous avons toujours su saisir les occasions de nous appeler de temps en temps. J'admirais le courage et la volonté de Maurice. Il était dans la vie face au handicap dans le même état d'esprit déterminé qu'il était dans la vie militante, dans l'exercice de ses responsabilités syndicales ; organisé, précis, déterminé , tenace; c'était tellement agréable de travailler, de militer avec lui. On était en confiance. Tout était clean (presque trop!) c'était organisé précis, réfléchi. Il savait ce qu'il voulait et ne cédait jamais pour l'obtenir si c'était juste. Il savait rassembler, écouter.
Deux chose renforçaient notre connivence: la trompette de Maurice André et la bonne table !! C'était un cuisinier hors paire; de la bonne table comme facteur de rassemblement et de convivialité, cela ne fait pas tout mais cela joue tout de même un peu dans les moments de discussions syndicales un peu tendues !
Alors qu'il était permanent à l'Union Départementale , durant les pauses, Maurice aimait beaucoup parler de sa famille. Il en parlait bien et alors, avec retenue , pudeur, sensibilité, fierté ; C'est je crois celui qui de nous tous qui travaillions alors rue Charlot celui donnait le plus des nouvelles des siens, montrait le mieux son attachement affectueux à la vie familiale . A chaque téléphonage, jusqu'au dernier, j'ai ainsi eu des nouvelles du fils, des petit enfants ! On sentait l'amour dont il les entourait.
Ma chère Jeanine, te voilà toi aussi dans la tristesse, immense, de la perte. Maurice ne nous laisse pas sans rien, il nous lègue une force, sa force, et une exigence: la volonté de vivre et de servir la vie. Nos devons continuer d'honorer la vie avec joie, rester fidèle à ce qu'a si bien porte Maurice.
Natacha m'a confirmé que tu étais bien entourée, et la qualité des liens d'affections familiales qui vous unissent tous. C'est pour partie aussi un héritage de Maurice. Pour autant tout cela reste dur, difficile . Eliane et moi partageons ta peine et celle de vous tous ! Et nous répondrons bien sûr a tout appel que tu pourrais nous adresser.
J'essaie de venir demain aux Adieux, mais cela me semble toutefois délicat à organiser et je ne suis pas certain d'y parvenir. Je vais faire tout le possible pour être physiquement présent.
Eliane et moi t'embrassons de tout cœur.
* Jean-Pierre Burdin "
Message de Daniel et jacqueline DAYET
Publié le 29 avril 2024 à 18:25
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de VALERIE THIERY
Publié le 26 avril 2024 à 17:54
" La famille DE MATOS/THIERY
adresse ses sincères condoléances à toute sa famille et amis "
adresse ses sincères condoléances à toute sa famille et amis "